Cours de cinéma sur l’intervalle
Comment le rapport d’intervalle entre les personnages ou les personnages et les objets intervient dans le film ? Quels intervalles ? Ou caméra/personnages ?

Gravity
flottant ondulant raccrochés par les éléments de la machine le satellite par la MAIN (s’ailleurs parler de tenir pas la main sa soeur et un mec) puis un moment flotte juste accroché par un tuyau //// + mouvements de caméra larges, dans tous les sens, e lien avec la musique et puis paf on la perd //// plans très très larges ou très très rapprochés /

Misobushi ?
La caméra suit les mouvements des personnages / ça fait un espèce de travelling au rythme des distances qui se créent / différentes tensions qui se sentent également du premier plan à l’arrière-plan, avec l’espace à moitié divisé en deux par le plateau /// à la fin chacun part de son côté et on voit la fille au milieu ///// comment la caméra isole les perso / Plan plage : point de vue de dieu ou du diable ; quelle solitude ? Que se passe -t-il ? Que va-t-il faire de cette situation-là ?

Les amants crucifiés
fuite et honneur perdu -> suicide ?
20cm intime / bras : amis ou connaissances proches / _de7 mètres : distance sociale / +7 mètres : inconnu : selon la sociologie occidentale / au japon, différent. on a un rapport au toucher trop différent. Maghreb : inverse.
scène de la barque : assez rare dans les films japonais, une telle proximité. La barque se décroche, et pudiquement, quitte l’oeil de la caméra : on laisse le moment d’intimité.
Souvent, chez Misobushi, la caméra filme / suit la présence de ce qui souffre.
espèce d’effet élastique entre eux + retrouvailles.
cinéma asiatique : caméra “à distance” ; on ne va pas trop “proche” des personnages, on est loin un peu de leurs émotions.

François Truffaut : l’argent de poche
on voit les actions des gens de manière plus frontale que latérale et on voit leurs actions pas cadrées en même / montre une distance entre les deux ; un désaccord, un non-dit. / plus la mère s’éloigne, plus l’enfant se rapproche du danger. + la manière dont l’enfant traite le bout de métal à la fin : l’éloigne de lui et le rejoint. boum! boum! boum! boum!

Houshiha housshien HHH
histoire contemporaine, une 60’s, une antique asie. Seul lien : joué par deux mm comédiens.
Boules de billards comme un jeu entre les rappochements méraphoriques des personnages ; ce sont leurs mouvements qui permettent le passage d’un mec à l’autre / + mise au point : focale très courte et on met vraiment en évidence une boule à chaque fois, ou plusieurs , mais les autres sont vraiment floues. Métaphores de la rencontre. Les deux personnages se tournent autour sans presque rien comme regards ou quoi.
personnage qui vient s’interposer entre notre regard et le couple pour nous montrer que c’est pas l’espace intime ; mais on entend très bien leurs paroles ; donc ils s’entendent facilement ; donc espace intime quand même tavuuu on a l’impression que nous aussi on est dans la distance respectueuse et en même temps dans l’intimité.
COMMENT LES CORPS SE RAPPROCHENT. Jeux très subtils de regards…..
Petit sourire : y’a plus de train
Les corps ne se touchent presque pas / et la tension amoureuse est très très suggérée / on montre les MAINS et ça prend une dimension émotionnelle de fou + seul gros plan du film on vient dans l'intimité. Lumière qui s’allume phares de voitures symbole bus qui passe et eux qui restent là. On se tient toujours dans une distance respectueuse socialement de l’autre / seul mmt, parapluie haha.

Pedro costa (portuguais) lisbonne cap verde travail dans le petit champ de son quartier / avant ça :le sang o sangoe
zoom gros super lent de plus en plus près jusqu’au ravalement de salive et au tremblement des doigts. Visage. la question émotionnelle monte. On les laisse disparaître dans la brume, dans la fête après : on laisse le spectateur résoudre / imaginer les choses. Portes ouvertes, endroits libres. Faure disparaître les personnages, c’est ça. ex cinéma finit souvent, maintenant par des questionnements narratifs clos. Trop triste.
dans la ville de sylvia
on sait pas que qui il s’ttache, qui l’intéresse : métaphore boisson. En fait il dessine ? non ?

philippe garel (idée de la nouvelle vague : tourne son film dans l’ordre et ne fait qu’une seule prise quoi qu’il arrive)
volonté d’immerger les comédiens dans le fil de l’histoire des personnages. NICO (velvet underground). Faire partir le personnage dans le flou : mise au point sur le début de la barrière.

haki korismaki



COMMENT
NAIT
L’EMOTION
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Lost